prisonnière recherche maitre ? (qui veut ^^)

Kiyomi arriva enfin dans le grand pensionnat ou elle pensait qu'elle allait passer les meilleures années de sa vie. Ses pensées se bousculèrent, elle espérait qu'elle serait heureuse ici, qu'elle se ferai des amis... Mais en réalité tout cela serai loin de se produire ...

Elle se dirigea vers la salle indiquer a l'entrer. La jeune femme qui le lui avait indiqué avait eue un drole de sourire amusée sur les lèvres ... peut etre y avait t'il quelque chose d'amusant a l'intérieur. Elle marcha d'un pas décidés heureuse d'entré dans cette nouvelle école.

Elle franchit la porte et soudain ... tout bascula. Elle se sentit attraper par les bras et jeter par terre. Lorsqu'elle regarda autours d'elle elle était dans une ... CAGE ??

*MAIS QU'EST CE QUI SE PASSE ICI ??????? *

Pensa la jeune fille en regardant tout autour d'elle. De nombreux autres jeunes gens était enfermé eux aussi.. On aurait dit un Chenil et d'autre jeune déambulait entre ses cages. Il semblait choisir quelque chose.

Kiyo entendis une jeune femme dire 'je veut celui ci'... C'était quoi ce délire, une peur indescriptible envahit la jeune femme ... Ou avait-elle atterris

*C'est quoi ce délire ? On va se faire tuer ou quoi ? c'est tous des psycopathe ? Oui c'est ça on m'a envoyer dans une école ou on forme des psycopathes *songeat la jeune femme une expression apeurée sur le visage ne sachant pas ce qui allait l'attendre....

A peine arrivé et installé, Vladimir avait décidé qu'il lui fallait une esclave. Une car un homme n'était pas intéressant à posséder, ils avaient tous cette fierté désagréable, ces regards trop haut qui faisait que systématiquement, le comte les supprimait au bout de deux petits jours. Ce fut donc content et une bonne quantité d'argent en poche qu'il se rendit à la "salle des soumis", comme on l'avait renommée. Il n'aimait pas vraiment ce nome-là, cet endroit avait quelque chose de glauque et classe à la fois.

Peut être étaient-ce les cages de verre qui tournoyaient lentement sur leur présentoir, ou bien les produits phare qui se débattaient mollement contre leurs chaînes, ou peut-être simplement le fait de voir des petits humains sans valeur être réduit au rang qui leur était reservé, toujours était-il que Vladimir jubilait littéralement d'être ici.

Il s'avança lentement jusqu'au vendeur qui sembla se ratatiner sur place. Un sourire cruel s'étala sur le visage du vampire, il aimait qu'on le craigne, mais surtout le connaisse et le reconnaisse.

"Bonjour... j'ai cru comprendre qu'il était de coutume de venir prendre un otage pour sa petite personne, en tant que grande personne je veux de la grande qualité, la plus revêche ou la plus belle, peu importe, mais je veux la "plus" quelque chose, vous avez compris?"

Le vendeur, tétanisé sur place, ne répondit absolument rien. Vladimir roula des yeux et avança d'un pas lent le long des "rayons"

"Bon, ce n'est pas grave, je chercherai tout seul."

Son visage se balada le long des rangées de blondes, faméliques, grandes ou petites, enveloppées, à menue, grosse poitrine, non, rien ne lui convenait, il passa à la suivante où une jeune fille étrange semblait tétanisée. Un sourire s'étala de nouveau sur son visage, figé. Il était parfois des esclaves qui croyaient être là exceptionnellement, d'autres, plus rares, savaient qu'ils serviraient et en étaient heureux, celle-ci, ce ne semblait pas être son cas. Avec une élégance infinie, il se baissa à la hauteur des yeux du petit être à l'intérieur et le toisa, ou plutôt la toisa, le regard rassurant.

"Bonjour jeune demoiselle..."

C'était, lui semblait-il, "La plus" apeurée.

Kiyomi était tétanisé, tout simplement. Elle avait était emmener de force et enfermer dans cette cage en verre. Elle continuait de regarder les gens qui déambulait entre les cages. Ces derniers semblait être humain, mais il semblait qu’il avait quelque chose en plus… ou en moins.

La jeune femme regarda certain ‘esclave’ sortir de leur cage et partir avec ces ‘gens’. Alors qu’elle regardait tout autour d’elle se demandant ce qu’il allait advenir d’elle, elle surpris une conversation… Et elle sut… elle sut ce qu’était ses gens …

*des .. des ..des VAMPIRE ????? O non c’est pas vrai… mais qu’est ce que je fait la moi !*

Pensa la jeune femme en regardant les vampires avec encore plus de frayeur dans le regard. Elle voyait des jeunes enfermés heureux de suivre ses … ses … monstres ? enfin c’est comme cela qu’il était dépeint dans les légendes en tout cas … comment pouvez t’on être heureux d’être réduit a la qualité d’esclave.

Alors que Kiyo regardait la scène avec horreur, un vampire entra dans la salle, il avait un prestance que beaucoup d’autre vampire n’avait pas. Il semblait être ‘important’, il demanda quelque chose a un jeune homme que kiyo ne put percevoir, et elle le vit commencer a déambuler entre les cages a la recherche de sa chose certainement. Plus le jeune homme se dirigeait dans sa direction, plus le cœur de la jeune femme s’emballait.

* je vous en pris, pas moi pas moi pas moi !!!*

Puis il s’arrêta devant sa cage et la regarda comme satisfait… Il s’abaissa a sa hauteur et la salua ?? Il était bien le premier qu’elle voyait faire cela aujourd’hui. Mais malgré son ton rassurant la jeune femme ne se sentait absolument pas en sécurité.

« qui etes vous … ? »

réussit t’elle seulement a articuler devant le jeune homme dont les yeux attirait étrangement son regard. Et même si elle se disait que les fixer ne devait pas être une bonne chose, elle n’arrivait pas a s’en détacher…

Un léger sourire s'échappa du visage ordinairement fermé du comte Von Oleander, décidément, les jeunes filles étaient bien mal élevées en ces temps maudits. Cette petite avait eu bien de la chance qu'il daigne la regarder, plus encore qu'il se baisse à son niveau, mais qu'il la salue, elle devait s'en sentir flattée, et pourtant... pourtant, elle ne répondit rien.

Un court instant, Vladimir se dit qu'il devait la corriger, cette pensée s'échappa aussi vite que son sourire en voyant le visage qu'affichait la petite : il lui faisait peur. Se retenant de rire, il haussa un sourcil et se redressa, ne laissant à sa vue que le haut de ses épaules.

"Hmm, généralement, quand on nous souhaite le bonjour, on répond, enfin, il semble qu'on ait négligé votre éducation mais ce n'est pas grave..."

Il lança un regard au vendeur qui disait que ça allait mal finir pour lui si elle lui manquait de respect.

"Appelle-moi Mr. Von Oleander jeune fille, ou bien M. Le comte, comme tu voudras, j'aurais aimé savoir si sortir de cette... cage froide et puante t'intéresserait, moyennant bien sûr quelques conditions que je poserai. Ici tu n'es pas en situation de force, j'ignore si tu sais ce qui t'attend, mais tu fais bien de me craindre..."

Il se baissa de nouveau, perdant son regard dans celui de la petite... souris? Qui se présentait devant lui. Etrange humaine, étrange, jamais il n'avait vu des yeux comme cela, et il se demandait même si ses cheveux étaient vraiment naturels, mais enfin, il n'avait qu'à attendre sa réponse. Son sourire ne le quittait pas, dans son esprit, une liste se dressait. La liste des conditions.

Le sourire amusé que kiyo vit apparaître sur les lèvres du comte de la rassura pas. Elle rêvait ou il venait de lui dire qu’elle était mal élever. Cette remarquer piqua la jeune femme malgré le fait qu’elle était complètement apeuré. Elle vit ensuite le regard qu’il lanca au vendeur et en eut des frissons dans tout le corps. Cet homme semblait froid et distant malgré le regard rassurant qu’il avait précédemment posé sur elle.

Il lui demanda si sortir de cette cage l’intéresserai. La jeune femme ne demandait qu’une seule chose en ce moment c’était sortir de cette fichu cage, elle se dit sur le coup qu’il n’était pas être pas si effrayant qu’il en avait l’air. Mais lorsqu’il acheva sa phrase sa soudaine légèreté relaissa sa place a de la peur …

Qu’entendait t’il par quelques conditions ? La jeune femme le regarda avec des yeux soupçonneux.

*des conditions ? ça veut dire quoi ça des conditions ? en même temps est ce que j’ai réellement le choix ? *

La jeune femme regarda une nouvelle fois autour d’elle et elle se dit qu’elle finirait de toute manière avec un vampire et que le prochain ne lui demanderai peut être pas son avis. Si bien qu’elle retourna son regard vers le comte et que ses yeux se rivèrent au sol.

« je veut bien sortir de cette cage … moyennant quelques… conditions monsieur le comte. »

dit elle d’une voix qui lui parut étrangement net. Elle n’avait pas trembler, ce qui relever de l’exploit vu les émotions qui la traversait a ce moment. Elle se sentait vaincue, elle n’aimait pas cette position d’infériorité. Mais pour le moment, il fallait sortir de cette cage, elle ne pouvait rien faire tant qu’elle était enfermée.

« si je puis me permettre, de quels domaines relèverons ses conditions que vous allez m’imposez ? »

demanda t’elle en relevant le regard vers son interlocuteur…

Le comte claqua des doigts et le vendeur accourut la queue entre les jambes avec les clefs de la cage. Il le vit trembloter, ce qui l'énerva au plus haut point, tellement fort qu'il l'éjecta d'un coup de coude avant de lui arracher ses clefs.

"Espèce d'incapable... retourne vite loin de moi avant que je ne décide d'abréger ta vie.."

Lentement, très lentement, il chercha la clef adéquate entre ses doigts fins, continuant à parler avec la jeune inconnue devant lui qui lui appartiendrait incessamment sous peu.

"Hmm de quels domaines hein? D'abord, de la loyauté, ensuite, de l'obéissance, et pour finir, de la rébellion. J'exige de la part de ... petits humains fragiles... une loyauté absolue, l'obéissance quoi qu'il advienne et bien sûr, pas la moindre trace de rébellion. Mais je pense que tu t'en doutais..."

Il ouvrit enfin la cage et recula de quelques pas, son sourire devint soudain moins rassurant. Le comte semblait réfléchir en tendant la main à l'intérieur de la cage pour que l'autre la saisissent. Il avait beau être son maître, il restait tout de même un gentleman, un séducteur, et en tant que tel il ne pouvait décemment pas laisser une jeune fille, aussi humaine et imparfaite fût-elle, sortir seule d'une cage.

"Il est bien entendu que tu seras sanctionnée lourdement si tu enfreints une de ces trois règles jeune fille, au fait, quel est ton nom? Tu as un numéro mais... euh, Delta 456 Alpha dièse? Oh, cela te va bien..."

Vladimir eut un gloussement amusé et tourna quelques secondes le dos à son esclave en avançant, réfléchissant toujours aux tâches qu'il allait lui confier. Un instant, il se retourna vers elle, souriant.

"Mais tu n'as pas encore dit si tu acceptais..."

La jeune kiyomi regarda son futur maître appeler le vendeur et regarda se dernier s’avançait en tremblant, le pauvre semblait aussi apeuré qu’elle. En plus pour parfaire son malheur, le pauvre homme n’arriva pas ouvrir la cage ce qui lui valut un coup et des insultes de la pars de mr le comte. La jeune fille se retint de dire quelque chose. Elle n’était pas encore sorti. Elle s’en voulu un moment pour ce sentiment. Elle n’était pas comme cela d’habitude…

Son futur maître tout en cherchant la clefs lui dicta les trois domaines dans lesquels il désirait qu’elle excelle : loyauté, obéissance et surtout pas de rebellions… A la fin de sa tirade il ouvra enfin la cage et une bouffée d’air envahit le bloc de verre. La jeune femme prit une grande inspiration les yeux fermée… Elle apprécia cet air…

Elle vit que mr le comte lui tendit la main. Elle le regarda avec un doute dans le regard avant de saisir la main. La froideur de cette main la surpris lui arrachant un sursaut. Elle espérait que le vampire ne s’en était pas rendu compte, mais il y avait peu de chance.

« merci … »

murmura le jeune fille, puis Il lui dit que si elle avait le malheur l’une des trois règles qu’il avait énoncer précédemment elle serait lourdement punit… la jeune femme se mit a imaginer qu’elle pouvait être les punitions … hum … Elle fut tiré de ses pensée lorsque le jeune homme lui demanda son nom.

« je m’apelle Ki…»

Mais avant qu’elle n’eut le temps de terminer sa phrase, il lui annonça qu’elle avait un numéro … UN NUMERO ?!!! Delta 456 Alpha dièse ?????

« Per… »

commença t’elle… mais elle se tut brusquement se rappelant que l’une des principales regles a ne pas enfreindre était l’obéissance… Mais quelle humiliation !!!! un numéro !!!!! alors qu’il lui faisait il se retourna vers elle, si bien qu’il dut voir le regard plus de rancœur avec lequel elle l’observait… Si elle acceptait ? elle avait soudainement plus peur ! elle avait envie de lui envoyer sa main a travers la figure a ce mr le comte ! un numéro ! mais bon il l’avait délivré et puis les autres ne devait pas être mieux que lui si bien qu’elle répondit a contre cœur

« oui j’accepte… »

Bien sûr, bien sûr qu'il avait surpris ses gestes et ses regards, simplement, Vladimir n'était absolument pas du genre à s'émouvoir à la première bévue de la part d'une personne qui ne s'était pas encore faite à son caractère. Au moins, Ki n'avait pas ouvert la bouche, et c'était bien heureux pour elle. Ki , quel nom étrange "arbre" en japonais, bah, après tout il en fallait pour tous les goûts, peut-être qu'elle lui avait menti, non, elle lui avait sûrement menti.

La peur faisait parfois faire des choses étranges.

Eclatant d'un rire tonitruant, le comte saisit le bras de "Ki" et la tira à lui pour l'envelopper de ses bras blancs dans une étreinte confiante mais ferme. La rébellion, une chose qu'il ne supportait pas mais qui le faisait tellement jubiler. En fait, s'il la laissait désobéir, il n'en serait que plus heureux, pour pouvoir ensuite la punir avec un malin plaisir.

"Parfait, heureusement, sinon je pense que cet autre jeune enfant là-bas t'aurait prise pour elle hmmm... tu me dois une fière chandelle petite, elle n'a pas l'air commode."

Il retint une moquerie en entendant la fille vêtue de cuir et latex parler avec un accent allemand très fort.

"Fou n'afez plu de stockeuh? Mais fou fou moquez de moich!"

Vladimir se surprit à lancer un regard rieur à "Ki" et paya plus que de raison sa "marchandise" en la trainant vers lui. Il jeta un regard dédaigneux à ses vêtements sales, et aussi à sa peau qui était d'une saleté repoussante. En un léger sourire, il prit une blouse blanche réservée au personel et la couvrit avec.

"Ca cachera au moins la crasse qui te recouvre, le temps qu'on t'achète autre chose petite...Ki?"

Il la sentait jusque là, son odeur de petite ingénue inocente aux idéaux bien trop haut placés pour ce qu'elle espérait des humains. Assurément, elle en demandait bien trop à la race humaine et vampirique, le monde n'était pas un pays de toupoutou où tout le monde était heureux, c'était triste, mais c'était comme ça.

"Des revendications à faire? Profites-en, après cette porte tu ne m'adresseras la parole que lorsque je te le demanderai."

Son ton, bien que doux était très ferme, et sa voix qui murmurait presque glissait comme de l'eau sur une vitre.

"Alors, Ki?"

[HRP: je sais très bien que ton perso ne s'appelle pas "Ki" ne t'en fais pas! xDD]

La jeune femme qui était toujours révolter par le fait qu’elle portait un numéro fut surprise de le voir éclater de rire. Il l’attira même a lui riant toujours, la jeune femme ne savait pas trop comment réagir…Puis il lui dit sur un ton moqueur qu’heureusement qu’elle avait accepter sinon elle aurai finit avec la jeune femme qui lui montra d’un coup de menton.

La jeune femme détourna le regard vers une femme vêtu de latex avec un fort accent allemand. Elle ne put réprimer une petite grimace. Elle faisait peur aussi celle la … bhu !

Puis elle surprit son regard dédaigneux qu’il venait de poser sur elle. Il l’a dévisageait avec un dégoût a peine masquer, ce qui offensa plus que de raison la jeune fille ! c’est vrai, comment pouvait-elle être présentable dans des conditions pareil !
Avant qu’elle n’est pu exprimer quoique ce soit mr le comte jeta sur ses épaule une blouse blanche réserver au personnel en lui annonçant que cela cacherai au moins la crasse pour le moment…

« merci mr le comte.. ; »

répondit t’elle de mauvaise foi… il l’exaspérait… mais elle n’était pas en position de faire connaître ses sentiments. Puis il lui demanda si elle avait des recommandation car s’était la dernière fois qu’elle pourrait les exprimés… Mais la jeune femme était trop fiere pour demander quoique soit …

« aucune revendications monsieur le comte… »

dit elle simplement en fixant son maître dans les yeux. Elle ne savait pas trop a quoi s’attendre avec cet homme…

« si juste une question … pourquoi moi ? »

Vladimir retint un petit rire de victoire face à l'abandon total de sa nouvelle compagnie et se mordit doucement la lèvre, posant ses yeux limpides sur celle qui, bien plus petite que lui, semblait être un véritable patchwork d'émotions. Oh, il ne fallait pas être stupide pour se rendre compte que sa remarque l'avait vexée, lui avait mis les nerfs à vif, mais lorsqu'on posait une question chez les Von Oleander, on s'attendait à une réponse immédiate, concise, claire et sans équivoque.

Il poussa doucement la porte qui les séparait du reste de l'école et poussa un soupir en entendant Ki lui demander pourquoi il l'avait choisie. Quoi? Elle n'était déjà pas contente qu'il ait levé les yeux sur elle? Eh bien voyons, peut-être parce qu'elle était ce qu'il y avait de moins pire dans cette animalerie? Il retint un gloussement et l'attira doucement dans ses bras pour venir lui caresser la joue.

"Voyons voir... tu es une réserve de sang considérable... et puis tu n'es pas bruyante, originale et tu étais la plus... effrayée. De ceux-ci. Oui c'est cela, il me faut toujours l'excellence, et tu excellais dans la frayeur et la panique, cela te convient-il comme réponse petite?"

Il plongea un instant ses yeux dans son regard violine et lui lança un sourire rassurant qui dissimulait toute sa pensée quant au rôle qu'aurait la jeune fille à ses côtés.

"Et puis tu devrais être contente, ceux-là *il montra des prisonniers en loques* vont être éliminés, au bout d'un mois de cage, zioup, on n'en veut plus, je t'ai sauvé la vie, d'autres auraient pu te réserver un sort horrible, je ne suis pas un tortionnaire, du moment qu'on m'obéit, c'est une assez bonne échapatoire n'est-ce pas?"

[Hrp: excuse-moi du retard, je commence mes révisions du bac blanc, je répondrai plus rapidement la prochaine fois ! ><]

La jeune femme écouta les paroles du jeune homme. C’est bien ce qu’elle pensait, elle était vouait à l’esclavage, même si mr le comte n’avais pas l’air d’être un tortionnaire, mais le résultat reviendrai au même… Réduction des liberté, plus de vie privée… adieux la vie normal… Un sentiment de solitude envahit la jeune femme.

*en plus je suis une réserve de sang considérable ….*

Puis les paroles du jeune vampire la tirèrent de la stupeur … on éliminait les jeunes qui restaient plus d’un mois ??? mais mais mais … c’était horrible, dans quel monde avait atterrit le jeune femme… il n’y avais plus d’égalité, plus de pitié… plus d’humanité…
Un sentiment de révolte monta dans le corps de la jeune femme ! a bas l’obéissance après tout, on ne pouvais se débarrasser d’être humain impunément et surtout pas en le déclarant avec autant d’indifférence..

« et je suis sensé vous remercier de m’avoir sauvé la vie c’est cela ? et les autres ? vous ne pouvez pas vous débarrasser des humains comme cela ce n’est pas … »

Elle allait dire humain… mais il n’était pas humain. Il n’empêche qu’elle trouvait cette pratique absolument répugnante …

« Vous pourriez ne pas les tuez… vous pourriez je ne sais pas moi…. »

Dit-elle en regardant les pauvres jeunes dans leur cage qui se doutait certainement de ce qui allait leur arriver très prochainement. Elle ne les connaissait pas mais elle aurai tant aimer faire quelque chose pour elle…

*et moi je ne vais pas mourir, mais ma vie ne m’appartient plus alors …*

Pensa t’elle en détournant le regard des cages répugnantes et de ses occupants désespérés en retenant la tristesse qui l’envahissait. Elle était la depuis seulement quelque jour et elle n’avait jamais ressentit autant d’émotion aussi éloigner en si peu de temps… de plus elle n’avait pas beaucoup dormi… elle était a fleur de peau…

Le sourire du vampire s'élargit doucement aux paroles de sa petite acquisition. Un profond sentiment d'injustice semblait la tordre en deux, lui broyer le cœur et l'esprit. Ces autres qui étaient là ne pouvaient plus être donné à des vampires qui obéissaient aux règles de l'école, on allait les envoyer autre part, dans un bordel avec un peu de chance, pour ces demoiselles, aux travaux pour ces seigneurs pour les autres. S'ils étaient vraiment beaux ou belles, un vampire pouvait aussi les prendre en pitié. Ou alors, ils deviendraient des bêtes de foire, comme ces gladiateurs qui se battaient pour la gloire du temps de la grande Rome.

"Tu n'es pas censée me remercier, je t'offre une vie de paix et tranquilité, une vie d'extase et de découverte. Je sais que tu crois que c'est inhumain, mais les Hommes on tellement... détruit, tué, sont tellement inférieurs à nous, êtres éternels qu'ils ne méritent vraiment que cela... tu es une petite miraculée pour être parvenue jusqu'ici très chère..."

Il lui avait en quelques sortes menti, mais tous étaient voués à mourir de toute façon, les élèves choisis pouvaient, et eux seuls le pouvaient, rejoindre les rangs si leur maître le désirait, avec ou contre leur gré. Mais cela impliquait bien trop souvent un lien fort entre vampire et humain, et peu avaient alors réussi à devenir vampires bâtards de sang mêlé...

"Ils ne mourront pas immédiatement, ils seront d'abord mis au rabais, puis les derniers seront répartis dans les bordels et les carrières, pour ceux qui sont moches, on ne peut plus rien, ils finiront dans le sable et la boue, mais les autres comme cette fille là-bas *il lui montra une petite brune à forte poitrine* finiront assurément par s'en sortir."

Le comte ne semblait éprouver aucune émotion face à ce tas de viande, ces chairs pleines de larme et de colère. Il en avait déjà tué tellement... un de plus un ou de moins ne ferait pas la différence. Un instant, l'idée que Ki puisse désobéir et s'enfuir lui traversa l'esprit, d'une poigne de fer, il saisit donc son bras et la tira vers elle.

"Ne restons pas là, tu t'es assez divertie pour le moment, je suis fatigué de ma journée et j'aurais bien besoin d'un massage, hmm?"

Il planta ses yeux durs dans ceux de son esclave, ceux qui disaient "n'essaye pas de désobéir", et la poussa doucement devant lui.

La jeune femme écouta les paroles du comte. Il lui dit qu’il n’était pas destinée a mourir, enfin pas directement, il serait condamné a une vie de travail dur et forcé, et qu’il finirait par mourir d’épuisement certainement. Le fait qu’elle soit une miraculée lui apparut soudain… mais elle ne remercierai jamais pour cela. Elle allait devenir esclave d’un être qui se croyait supérieur a elle sur simple fait que sa race soit plus puissante.

Elle sentit tout a coup une forte pression a son bras qui la sortit de sa torpeur lui arrachant un petit gémissement de douleur… à peine perceptible.
Il voulait un massage ? Humm kiyomi lui aurait bien répondu de ce lui faire lui-même. Elle se retint et sortit hors de la salle. Elle regarda tout autour d’elle une fois en dehors. C’était une nouvelle vie qui commençait pour elle. Elle allait découvrir un nouveau monde, côtoyer une nouvelle espèce. Et avoir un nouveau « travail », qui ne l’enchanter guère d’ailleurs….

Elle avait bien compris qu’elle n’avait pas le droit de parler, mais ses yeux impressionner malgré tout devait parler pour elle. Elle détestait les vampires depuis qu’il lui avait volés sa vit mais elle était impressionner de se retrouver dans cette école. Cette architecture, tout ces jeunes gens qui paraissait parfait qui déambulait dans les couloirs, quelqu’un suivit par un esclave d’autre pas … En parlant d’esclave certain avait l’air mieux traiter que d’autre ….

Kiyomi quand à elle ne savait pas encore a quelle sauce elle allait êtres manger …

(désoler pas très inspiré …)

Le visage du comte se peignit d'un doux sourire, celui du plaisir de posséder, de dominer. Il avait oublié cette sensation qu'offrait la puissance et la supériorité. Ce fut avec un plaisir non dissimulé qu'il poussa son nouvel achat devant lui le long des couloirs. Certains esclaves craintifs suivaient leur maître, la tête basse, d'autres trop familiers les considéraient comme leurs égaux, quelle hérésie! Avaient-ils oublié qu'avant quelques jours, semaines ou mois, ils étaient encore dans leur minable cage de verre à attendre la mort?

Vladimir ne voulait pas que Ki soit de ceux-là, il voulait de la crainte mais avant tout du respect, après tout il était un peu comme son sauveur, n'est-ce pas? Tant qu'elle ne le provoquait pas, tout serait pour le mieux, elle pourrait même sortir un peu si elle le désirait, mais son mutisme en disait long sur sa façon de penser et malheureusement pour elle, cela ne lui convenait pas. Il fallait qu'il lui ouvre les yeux! Le monde n'était pas rempli de calinours aux idéaux héroïques de viking courageux et vaillants, enfin!

"Allons, ne tire pas cette tête, et dis-moi comment tu veux que je t'appelle, pas nécessairement ton vrai nom, mais donne-moi au moins une piste... hmmm.. j'aime bien les prénoms européens, que dirais-tu de Rachel? Ou bien d'Aurore, c'est joli Aurore..."

Il haussa un sourcil et se pencha pour la fixer, sa joue touchait presque la sienne, un fin sourire charmeur s'incrusta comme un diamant sur son visage, il aimait déjà la taquiner.

"Ou si tu ne veux pas, je t'appellerai par un prénom différent selon l'inspiration, Marie-Georgette."

Sa remarque, qu'il trouva particulièrement drôle, lui tira un vif sourire. Il reprit tout son sérieux et se râcla la gorge en prenant les devants dans le couloir.

"Alors, Gertrude?"

[Ps: poste encore une fois ici et on continuera dans les nouveaux appartements de ta Kiyomi ^^]

La jeune femme était toujours absorbé par sa contemplation. Elle regardait les différents élèves qui passaient dans le hall. Certain était plus extraverti que d’autre tout comme leur esclaves d’ailleurs. Elle repensa un instant a sa cage qu’elle venait de quitter et un frisson la traversa… Elle était contente d’être sortie de la, mais comme elle ne savait pas a quoi s’attendre quand a sa nouvelle vie, elle se demanda un instant si elle n’allait pas la regretter sa cage…

Elle fut soudainement tirée de sa rêverie par les paroles de son nouveau maitre. Il lui demander comment elle voulait qu’il l’appelle ? Hum… par son prénom ? Mouais, cela ne l’enchanter pas plus que cela mais les prénoms qu’il venait de lui proposer ne lui plaisait pas …

« Vous pouvez m’appeler … A NON PAS GERTRUDE ! S’il vous plait j’ai ma fierté tout de même »

Dit elle d’une voix véhémente, elle se demanda un bref instant si elle n’allait pas le regretter, mais tant pis l’indignation était bien trop grande… Marie Georgette ? et puis quoi encore ? Pourquoi Cunégonde pendant qu’on y été !!!

« Vous pouvez peut être m’appeler par mon prénom tout simplement monsieur le comte. Je me prénomme Kiyomi »

Dit elle simplement en reprenant une voix calme, elle ne connaissait pas encore bien cet homme mais elle avait un peu peur de ses réactions, elle ne connaissait pas encore assez son caractère pour savoir jusqu’ou elle pouvait aller. Mais Marie Georgette cela dépassait l’entendement, rien qu’a la pensée de se prénom elle avait l’impression qu’on lui ôtait toute dignité. Cette homme était t’il assez vicieux pour ne pas l’appeler par son prénom et donc lui enlever la dernière parcelle de dignité qui restait a la jeune femme ?

(ok jete laisse continuer ?)